BLAGUE SUR LE PATRON
Un jeune couple vient de se marier.
Elle, est une belle blonde magnifique et sensuelle.
Lui, travaille tous les matins de bonne heure sur les marchés.
Quelques semaines après leur mariage, par une belle matinée, elle fait le ménage en petite tenue quand on sonne à la porte. Un homme est là et demande à la fille :
– Bonjour madame, je voudrais voir votre mari.
– Bonjour monsieur, mon mari n’est pas là.
– Je me présente, je suis le patron de votre mari.
– Enchantée monsieur, voulez-vous entrer quelques instant, puis-je vous offrir un petit café ?
– Avec plaisir…
Le gars lorgne sur la fille et ça le chauffe un peu et tout en buvant son café, lui demande :
– Vous avez de beau cheveux, madame, si je vous donne 20 €, est-ce que je peux vous les caresser ?
La fille trouve ça un peut bizarre, mais après tout ce ne sont que ses cheveux et le budget du jeune couple est un peu serré et avec les 20 € elle va pouvoir s’acheter du rouge à lèvres. Elle se laisse faire. Après ça, le gars ne s’arrête pas là et demande :
– Et si je vous donne 100 €, est ce que je peux vous caresser les s**ns ?
Ouh la la, il va un peu loin… Mais après tout avec 100 €, elle pourra s’acheter le belle petite robe qu’elle a vue hier en vitrine. Elle se laisse faire. Après ça, le gars ne s’arrête pas là et demande :
– Je vous donnerai 500 € si vous me faites une petite p**pe ?
Cette fois il dépasse la limite… Quand même avec 500 €, elle pourra se payer la paire de chaussures de Chanel quelle a vu dans un magazine ; elle n’aura jamais les moyens pour cet achat. Elle fait donc la petite gâterie au gars. Après ça, le gars ne s’arrête pas là et demande :
– C’était délicieux… Je vous donnerai 1500 € en plus si je peux vous faire l’am**r ?
La fille ne réfléchit même plus sur la moralité de cette histoire, elle ne voit plus que les billets qui tombent… Avec 1500 €, elle va pouvoir s’acheter le joli manteau avec un col en fourrure dont elle rêve. Elle n’aura jamais plus cette opportunité. Elle accepte.
Le gars fini de payer et, un peu fatigué, s’en va.
Le soir, le mari de la fille rentre chez lui et demande à sa femme, si son patron est passé dans la journée. La fille un peu gênée bredouille une sorte de « o.. ou… oui ».
« Est-ce qu’il t’a déposé ma paye ? » lui demande-t-il alors.